sexta-feira, 17 de novembro de 2017

P. Dieucel, La remobilisation de l'Armée Haïtienne: une bonne décision, mais prise et faite de manière erronnée

                                                                                                               17/11/2017
La remobilisation de l'Armée Haïtienne: une bonne décision, mais prise et faite de manière erronnée

                          P. Dieucel

La remobilisation de l´Armée Haïtienne après 23 ans de son demantèlement (1994-2017), est annonsée sa remobilisation officielle par l´actuel gouvernement, ayant à sa tête le président Jovenel pour remplir sa mission de défense, comme l´indique l’article 264-268: les Forces Armées d’Haïti sont chargées de la défense et de l’intégrité du territoire de la République.
Le retour des Forces Armées Haïtiennes est légitime et nécessaire, mais le peuple n´ a pas été consulté car une telle décision aurait dû prendre en accord avec les partis politiques (et la populations haïtienne).
En cas de désaccord entre les partis politiques, le président Jovenel ou le gouvernement en place aurait recouru à une votation populaire à travers un plébiscite (ou un référendum qui consisterait à aprouver ou non la question posée). Le plébiscite est une consultation populaire sur le désir d'une population à propos d'une importante décision.
La décision de remettre sur pied les Forces Armées Haitiennes est donc prise par le gouvernement (ou le parti politique au pouvoir) en harmonie avec ses sympathisants. En fait, la décision du président est bonne et constitutionnelle mais très précipitée.
Ce serait beaucoup mieux s'il y avait un dialogue de la part du gouvernement, en consultant les partis politiques et le peuple. Car, la démocratie est le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple.
Mais les questions que je me pose aussi: Le référendum est-il prévu par la Constitution?

 À défaut de dispositions constitutionnelles la loi permet-elle de recourir au référendum? En quelles matières?

domingo, 16 de julho de 2017

Pierre Dieucel: Pourquoi faut-il transférer la capitale d´Haiti vers un autre endroit?


D´autres raisons:

Port-au-Prince est la capitale de la surpopulation
Port-au-Prince est la capitale économique, politique, administrative
Port-au-Prince est la capitale où se trouvent presque toutes les universités du pays
Port-au-Prince est la capitale des peu industries et fabrique du pays
Port-au-Prince est la capitale de la méchanceté (violence) et l´injustice de toute sorte
Port-au-Prince est la capitale de la corruption
Port-au-Prince est la capitale où se trouve plus de fatras (politique de fatras)
Port-au-Prince est la capitale des migrations internes
Port-au-Prince est la capitale de domination et d´idéologie (domination sociale et politique).
Tout se fait à Port-au-Prince, toutes les décisions sont prises à Port-au-Prince. Ainsi, Port-au-Prince est le coeur d´Haiti.

quinta-feira, 13 de julho de 2017

Discussions d´un projet de construction d´une nouvelle capitale haitienne




Discussions d´un projet de construction d´une nouvelle capitale haitienne


À definir le lieu (Cayes, Jacmel, Cap-Haitien, ou....). Une ville qui n´est pas située au bord des côtes.


Pòtoprens pa kapab ankò, la genyen twóp krim, twòp gagòt, twòp mechanste, twòp kòripsyon. Ann pote tout bagay sa yo lòt kote. Konsa, Pòtoprens ap rete pi gwo vil ekonomik peyi-a. Konsa, peyi-a ap genyen yon kapital administrativ. Menm si pral genyen kòripsyon. Konsa, nou ka rele l tou LA NOUVELLE CAPITALE DE LA CORRUPTION. Mesye gran manjè yo, ann kòmanse louvri deba a pou yon lòt kapital pou peyi-a.
Mesye MEDYA yo, nou menm ki gen mikro-a nan men nou kap enfòme, edike pèp la, kap defann enterè nou, ann kòmanse panse ak pale D´UN PROJET DE CONSTRUCTION D´UNE NOUVELLE CAPITALE HAITIENNE.


Pierre Dieucel


Pourquoi faut-il transférer la capitale d'Haïti


Pierre Dieucel


Je ne suis pas un expert, mais je pense qu´il est nécessaire de construire une nouvelle capitale haïtienne, un centre administratif ou politique qui siégerait les trois principales branches du gouvernement haïtien. Cette nouvelle cité accueillerait les ministères, des entreprises, les affaires de l´État, etc. Cette ville serait construite par une politique de planification, divisée par des zones urbaines de grandes avenues en la divisant en secteurs, en blocs numérotés ainsi que les secteurs d'activités prédéterminés tels que des hôtels, des banques, des ambassades étrangères, etc.

Alors, voici les raisons pour lesquelles qu´on devrait transférer la capitale d´Haïti:
v L' argument principal pour lequel on doit changer la capitale d´Haïti est une question de sécurité nationale. Pourquoi?
Ø - Port-au-Prince est une ville située sur une partie de la côte très libre de navigation. Ainsi, elle est devenue une cible facile de toutes les ataques des ennemis.
Ø - Port-au-Prince partage trop de frontières avec le pays voisin (celui-ci peut nous envahir à n´importe quel moment)
· D´autres considérations:
Ø - Port-au-Prince est une ville mal construite et désorganisée. Ainsi, est devenue le plus grand centre du pays oú concentre tout. Port-au-Principe est l´unique ville des 11 départements que tout le monde qui veut réussir, est obligé d'aller, à la recherche d´une vie meilleure. Mais, en réalité c´est la misère. De telle manière, la sur-concentration, la surpopulation, la violence (déléquance) et l´insécurité occupent une place croissante dans la vie quotidienne du pays. Mais, il n´y a aucune décision prise face à cette réalité.
Ø - Port-au-Prince est dejá une ville corrompue. On doit implanter cette corruption vers une autre ville qui serait la capitale administrative du pays, car Port-au-Prince n´est pas l´unique lieu stratégique. De cette façon, Port-au-Prince resterait la ville commerciale la plus importante et le cœur du pays. Changer la capitale d´Haïti, ça ne signifie pas que la corruption prendrait fin.

Ses éléments considérés au-dessus sont convenables et clairs, selon moi, pour commencer à mettre sur pied un débat sérieux sur la possibilité de la construction d´une nouvelle capitale.
Donc, à mon avis, Port-au-Prince reste et demeure vulnérable aux agressions extérieures sur une côte bien libre de navigations. Ainsi, la construction d´une nouvelle capitale aurait la répercussion sur une nouvelle technologie capable de mieux contrôler le pays. Le plan principal devrait être: retirer la capitale de la côte et donner naissance à un centre administratif et nouvelles villes. Ça ce serait le commencement d´une vraie décentralisation.
Maintenant reste à choisir le nom de cette nouvelle capitale à travers un référendum et une liste de propositions ( il faut écouter également le peuple).
Il est donc nécessaire de commencer cette discussion sur un nouveau transfert de la capitale d´Haïti, qui devrait quitter la côte et aller à l'intérieur d´Haïti. La construction d'une nouvelle capitale, c'est aussi pour mettre fin à la domination idéologique de Port-au-Prince.
Port-au-Prince n´est pas seulement Haiti

Selon toi, vaut-il la peine de changer la capitale d´Haïti? Si oui, quelle ville pourrait être considérée la nouvelle capitale?

terça-feira, 11 de julho de 2017

José María Castillo: a grande preocupação de Jesus


A preocupação de Jesus, segundo José Maria Castillo


“A grande preocupação de Jesus não era se as pessoas pecavam mais ou menos, mas se as pessoas tinham fome ou estavam doentes”, afirma José Maria Castillo.

“A grande preocupação de Jesus não era se as pessoas pecavam mais ou menos, mas se as pessoas tinham fome ou estavam doentes”. O importante teólogo granadino José María Castillo recebeu, à noite, um autêntico banho de massas, durante sua intervenção na Aula Cultura ABC, de Madri.

A reportagem é de Jesús Bastante, publicada por Religión Digital, 13-12 2016. A tradução é do Cepat.

O ato, que serviu para apresentar “La Humanidad de Jesús” (Trotta), superou as expectativas: todos os assentos da Aula (mais de trezentas pessoas) cheios para ouvir Castillo, um dos pais da Teologia Popular e cujos escritos são essenciais para compreender o “modelo Francisco”. E, pela primeira vez em muito tempo, o livreiro colocou o cartaz de “tudo vendido”.
Após a abertura de Fernando García de Cortázar, sj., e depois de uma extensíssima apresentação de Reyes Mate, Castillo foi direto ao assunto, separando “duas formas de fazer teologia: a dos Evangelhos e a de Paulo”. Em sua opinião, “a dos Evangelhos é uma teologia narrativa, enquanto que a de Paulo é uma teologia especulativa, porque parte de ideias sobre a religião, o pecado, a salvação e o ser humano”.
Esta dicotomia marcou a evolução do Cristianismo no Ocidente desde praticamente o surgimento da Igreja. Para Castillo, “é um fato que as relações entre o divino e o humano na história da Humanidade foram difíceis, complicadas, tensas e, às vezes, conflitivas e inclusive violentas. Foram e continuam sendo”.
Aprecia-se, assim, um “conflito entre o desejo e a proibição que vem do divino”, e que penetra na intimidade das consciências, onde se dão os sentimentos de culpa. “Se não existisse, todos os psiquiatras e terapeutas deveriam apontar à paralisação”, disse entre os risos das pessoas.

No caso do Cristianismo, “esta tensão se acentua porque o centro é Jesus Cristo, que nossa fé afirma que é perfeitamente divino e perfeitamente humano”. “Se nossa fé em Jesus fosse como tem que ser - explicou Castillo -, a fé em Jesus teria que ser a presença em nós do divino, que deveria nos levar a pensar e a viver da forma mais plena e coerente o que é humano. Assim, haveria harmonia, gozo, desfrute, felicidade”. Mas, se ao contrário, “nossa fé em Jesus for vivida como presença em nós do humano, isso teria que nos levar a pensar de forma plena e coerente no divino”. Uma das duas? “Mas, as coisas não funcionam assim”, disse Castillo.
O grande problema, então, é a forma como falamos de Deus, como definimos Deus, inclusive se este último é possível. “Quando falamos de Deus, estamos falando do transcendente, e o transcendente, por definição, é aquele que não podemos conhecer. Se buscamos conhecê-lo, não conseguiremos de outra maneira a não ser objetivando, e coisificando. Algo mentalmente elaborado, e isso é Deus”.
Mas, inclusive concebendo esta possibilidade, “como harmonizamos que Deus é infinitamente bom e poderoso com este homem e este mundo que temos? Isso não tem solução. Não existe”. E se não tem solução, então vem minha pergunta. “Deus quer...”. “Onde ficou sabendo disso? Quem disse a você? Se você começa a me explicar Deus, é que não ficou por dentro do que é Deus, ou não admite o transcendente. Você faz uma representação desse momento e isto é o que as diferentes religiões fazem”, explicou o professor.
Que solução o cristianismo deu a este problema? “A solução foi Jesus, que é a explicação do que nós podemos saber e conhecer. Isto é exatamente o diz o Evangelho de João: ninguém nunca viu a Deus, jamais. É um ato de fé. E então a chave passa a ser como vivemos esta fé”, destacou Castillo.

E onde está Deus? Castillo utilizou o Evangelho de João para explicar que Deus está em Jesus, em seus atos e suas palavras. “Vendo como Jesus atuou e se comportou, saberemos o que agrada a Deus, o que Deus quer, o que Deus rejeita. E vemos isso na humanidade de Jesus, porque a divindade não está a nosso alcance. Justamente porque a missão de Jesus é nos dar a conhecer o que não podemos conhecer de outra maneira ou por outro caminho”.
Para Castillo, “Jesus é uma representação, um ser pessoal que se identifica com Deus e é com ele que Deus se identificou. Deus soube que a primeira coisa que precisava fazer para se comunicar conosco era se humanizar”. Uma profunda humanidade de Jesus que se manifesta na leitura dos Evangelhos, onde se refletem as “três grandes preocupações de Jesus: a saúde, a alimentação e as relações humanas”. Por isso, explicou que, no Evangelho, Jesus aparece curando doentes, partilhando a comida e acolhendo todo mundo, falando com todos.
É que “a grande preocupação de Jesus não era se as pessoas pecavam mais ou menos, mas se as pessoas tinham fome ou estavam doentes”, explicou Castillo. O problema era o delito, que é prévio ao pecado. E isto fez com que “Jesus entrasse em conflito com os representantes da religião”.

Mais ainda: “Jesus percebeu que a religião, da forma como funciona, entra em conflito com a felicidade do ser humano. As religiões proíbem amar certas pessoas e são exigentes com as coisas mais íntimas das pessoas, ao passo que se mostram tolerantes com o dinheiro. Não toleram a igualdade: as religiões se dão mal com a igualdade e precisam estabelecer diferenças: eu posso mais que você e lhe proíbo que pense ou diga isso”, destacou o teólogo.
E, no entanto, “segundo o Evangelho, a plenitude do divino se alcança na medida em que vamos nos aproximando da plenitude do humano. E uma pessoa que maltrata o humano não pode acreditar em Deus. Quem faz os outros sofrerem, não acredita em Deus, acredita em uma representação que fez e a qual se apega, chegando a matar se for preciso”. 
Para Castillo, “o problema da Igreja é que as maiores resistências que teve, desde suas origens, não foram contra o divino, mas supreendentemente contra o humano”, ressaltou Castillo, recordando os principais conflitos dos primeiros séculos do Cristianismo, e os grandes temas que, ainda hoje, sacodem o debate intereclesial: desde a homossexualidade, à desigualdade entre homens e mulheres, e também a escravidão. “Sabem quando a Igreja condenou a escravidão? Com Gregório XVI, na metade do século XIX”.
“É curioso que os países mais praticantes na Europa sejam os do sul, os de mais religiosidade, observância e tradição... que são os países mais corruptos. E, ao contrário, os países onde há menos religiosidade, ritualismo e clericalismo são os países onde esta mácula que sofremos e nos envergonha, nem a imaginam”.
“Por que o Vaticano, a esta altura, ainda não assinou os acordos internacionais para a aplicação dos Direitos Humanos”, denunciou Castillo, que agradeceu o ensino, desde João XXIII, sobre os direitos humanos... na teoria. “Procurem a palavra ‘mulher’ no Código de Direito Canônico (CDC). Não a encontrarão. Minha convicção é que o CDC é um livro de uma violência... Não é que aqueles que o fizeram ou o mantêm sejam pessoas violentas. São pessoas fiéis a sua religião. E como querem ser fiéis e permitirão arrancar a pele antes de perder sua religião, temos o que temos”, concluiu.
No breve turno de perguntas, Castillo demonstrou sua impressão de que o Papa Francisco “concordaria em muitas coisas comigo, ainda que não em tudo”. Em sua opinião, Bergoglio “é um homem que mudou a figura do Papado, até o ponto em que aquela imagem hierática do Papa não será fácil recuperar”.
“Neste homem predomina sua humanidade. É um homem profundamente humano”, destacou o teólogo, que recordou que “tudo o que eu disse ressaltando a humanidade e a misericórdia, Francisco também enfocou”. Apesar de tudo, reconheceu que “uma pessoa que tem cargos de governo dificilmente pode colocar em questão determinados princípios que entrariam em conflito com o mesmo cargo que desempenha”.

A última pergunta foi: veremos a Deus?. “Eu acredito na Ressurreição, porque tenho esperança que a morte não tem a última palavra. E, nesse sentido, posso afirmar minha fé na ressurreição. Mas, segurança... nenhuma. Em minhas crenças, ela existe”, finalizou.


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quinta-feira, 1 de junho de 2017

Querer é sempre poder?


Querer é sempre poder?

Pierre Dieucel (31/05/2017)

Querer é poder, isto é, quero e logo posso. É uma fórmula típica de pessoas com uma personalidade forte ou enérgica que acreditam que sempre é possível fazer algo com sucesso quando você realmente quer.
Mas, por que tantas pessoas querendo e não podendo? Ou seja, querer é sempre poder? 
O que deve ser isso?
Escutamos muitas vezes frases como: já tentei de tudo, de novo a mesma coisa, não aguento mais, não tem jeito, esqueça! Você não pode e não vai chegar lá... Pode desistir! Não insista mais! Basta! Não há piores linguagens como essas e outras.
Elas atacam seriamente a nossa identidade, causando sonhos frustrados (abortados, fracassados), desânimo e transformando pouco a pouco em uma voz escura e assustadora que continuamente nos diz que não podemos fazer ou seguir o que queremos.
Mas para fazer acontecer nunca é tarde demais, e há sempre tempo para pararmos e pensarmos sobre como e quais meios que devem ser usados para alcançar ou realizar o que queremos. Não devemos nunca abandonar as nossas aspirações e nossos sonhos. A determinação e a perseverança conduzem ao sucesso.
Quero concluir esse curto raciocínio referindo-me a estas sábias palavras: O sucesso nasce do querer, da determinação e persistência em se chegar a um objetivo. Mesmo não atingindo o alvo, quem busca e vence obstáculos, no mínimo fará coisas admiráveis (José de Alencar).
Nossa maior fraqueza está em desistir. O caminho mais certo de vencer é tentar mais uma vez (Thomas Edison).

Que Deus seja sempre o centro dos nossos projetos!

Brasil: turbulências, revoltas e incertezas


                                                                                                     
                                                                                                           30/05/2017

Pierre Dieucel

Brasil: turbulências, revoltas e incertezas

A atual crise no Brasil está se tornando cada vez mais preocupante, mergulhada em turbulências, revoltas e incertezas.  Tal crise é provocada por revelações de escândalos de corrupção e lavagem de dinheiro, revelada pela operação Lava Jato, tida como a maior operação de combate à corrupção da história do Brasil, investigava primeiramente a atuação de "doleiros", mas, posteriormente, passou a investigar também a corrupção na petrolífera estatal Petrobras, envolvendo políticos e outras empresas. Consequentemente, espalhou sobre a vida política e econômica do país, uma profunda crise que deixou o povo brasileiro revoltado.

Em que consiste tal incerteza?
É esta: quem será o próximo presidente do Brasil em 2018
Nomes presidenciáveis: Lula, Aécio, Marina, Bolsonaro, Dória, etc.
Os dois primeiros, ou seja, Lula e Aécio, já têm processo de investigação, julgamento e à espera de sentença.
Incerteza: e se o Lula for preso?
O cenário político brasileiro, ou seja, o PT perderá um grande líder carismático. Assim, o partido dos trabalhadores (PT) se enfraquecerá. Nesse caso, quem substituirá o Lula como candidato (plano B)?
E se o Aécio for preso?
O partido (PSDB) mandará um representante. Mas o impacto seria bem menor do que o do Ex-presidente Lula.
E os outros prováveis candidatos? Acho dificilmente um dois três será eleito.
O prefeito Dória seria o cara mais vantajoso. Infelizmente será muito difícil de ele ser eleito, pois o nome dele é só mais conhecido no estado de São Paulo.
A senhora Marina poderia ser um grande nome, mas lhe falta ser carismática e falar a linguagem do povo. Falar o que o povo quer ouvir com um jeitinho.
O sr. Bolsonaro aparentemente pelo seu jeito de discurso durão (talvez pela sua carreira militar ou influenciado por outros políticos) e pelas suas declarações polêmicas, dificilmente será eleito. Mas nada é impossível.

Diante de tanta incerteza, o que deve ser feito?
Ou para onde recorrer?
O povo deve buscar um jovem formado e capaz para renovar a política brasileira. A melhor maneira é recorrer então à juventude.
Onde encontrar tal jovem?
Ser jovem não é uma questão de idade, mas de estado de espírito!
De tudo isso que falamos, se o Lula não for preso, ele será, sem dúvida nenhuma, o próximo presidente do Brasil em 2018.
Esse seria então um dos jovens!
Um grande nome, o único no momento que poderia encarar o Lula, seria o atual juiz federal: Sérgio Moro.
Quem será o próximo presidente do Brasil?
Ninguém saberá responder, pois ainda existem muitas incertezas e dúvidas.


Você tem algo a dizer a respeito?